Nos écoles se souviennent

Les premiers professeurs de l'EPA en 1941

Pour donner les cours des matières complémentaires, des professeurs  du lycée CHAMPOLLION de Grenoble viennent quelques heures par semaine : Mr BREUIL pour les mathématiques et les sciences d'observations, Mr MULLER pour l'anglais, Mr JOBERT pour l'histoire et la géographie.

Les sports et la surveillance de l'internat sont assurés par les sergents BLUTEAU et BENAT.

Le souvenir de l'encadrement de l'EPA

Pendant notre séjour à l'école, nous avons rencontré des militaires et des professeurs qui ont marqués notre jeunesse, un diaporama permet de raviver vos souvenirs

Pour voir le diaporama (Cliquez ici) (Fichier PowerPoint)

Quelques professeurs de l'EPA à l'honneur

 

  Avertissement :  

 

Cette rubrique ne concerne que les évènements connus du "comité de rédaction" du site

Le 1 mars 1963 : Mr PONCET est fait Chevalier de la Légion d'Honneur.

Le 17 décembre 1964 : Mr PINOY est fait Officier de l'Ordre National du Mérite

Le 26 mars 1966 :Mr PILON et FERRIEU sont faits Chevalier de la Légion d'Honneur

Le 2 mars 1968 : Mr BREUIL est fait Chevalier de la  Légion d'Honneur

En janvier 1970 Mr OLLANIER est fait Officier de la Légion d'Honneur.

Le 15 mai 1974 : Mr PONCET est décoré de la médaille de l’aéronautique et Mr BELLE LARANT est fait Chevalier de l'Ordre National du Mérite

Le 22 juin 1991, lors du cinquantenaire de l'école : Mr PONCET est fait Commandeur de l’Ordre National du Mérite.

Le 31 mars 2010 Mr PEYRIN recoit le diplome d'Honneur aux Combattants de l'armée Française 1939-1945, il est aussi Chevalier dans l'Ordre National du Mérite (mars 1963), Chevalier de la Légion d'Honneur (janvier 1970), Officier dans l'Ordre des Palmes Académiques, décoré de la Croix du Combattant et de la Médaille du Combattant.

Le 22 octobre 1976 : Mlle VANDELLE (infirmière) est faite Chevalier de la Légion d'Honneur.

Le Pipin

Notre recherche sur l'origine du mot "Pipin", nom donné depuis la nuit des temps aux élèves de l'Ecole des Puipilles de l'Air, semble avoir abouti.

Les plus anciens n'ont pas voulu le dire à Toulouse lors de l'AG de 2004, puis, sur une indication livrée par Jacques GIRAUD (Promo 1941) à Jean Michel HARENT, l'auteur identifié en serait Bernard SCHMID (Promo 1941 lui aussi) qui a envoyé une longue lettre à Jean Michel.

En voici l'extrait concernant notre enquête :

......Quand nous marchions dans les rues de Grenoble en rangs serrés, certains Grenoblois disaient :

"Ah ! Comme ils sont beaux! Gentils les petits pupilles."

Et moi qui était très moqueur, je déformais les mots avec l'accent de Grenoble, je disais :

"Ah ! Les petits Pipantes, les petits Pipintes !..."

Avec le temps, les jeunes générations qui nous ont suivis ont transformé Pipintes en Pipins. Voilà...

Merci à Bernard SCHMID de cette explication.

Et mainteant on sait d'où ça vient.

Le chant de la Maison Des Ailes

Le chant de la MDA a été composé par l'Abbé BARDET aumonier de l'école sur une musique de BEETHOVEN.

Ce chant repris en de multiples occasions est le ciment qui relit entre elles les anciennes de toutes les générations qui ont séjournées au chateau durant les 54 ans de la vie de l'école.

Pour afficher les paroles du chant de la Maison Des Ailes (Cliquez ici) (Fichier Pdf)

Pour écouter le chant exécuté par les élèves (Cliquez ici) (Fichier MP3)

Pour écouter la version écrite par BEETHOVEN (Cliquez ici) (Fichier MP3)

Pour voir la version chantée avec photos (Cliquez ici) (Fichier Wmv)

La marche des pipins de l'Ecole des Pupilles de l'Air

La Marche des Pupilles, paroles de Mr THIEULLE professeur de Français et Latin et musique de Mr MOUIS professeur de Musique, était chantée par les élèves pendant les cours de musique et pour des occasions festives (départ en vacances, ....).

Cette tradition disparue vers les années 1953/1954.

Pour afficher les paroles de la Marche des Pupilles (Cliquez ici) (Fichier Pdf)

La poste "Parmentier"

C'était avant les mails, les SMS et le téléphone portable, entre les lycées à GRENOBLE fut mis en oeuvre une nouvelle technique de messagerie appelée "GRENADES PARMENTIER".

Vous aller apprendre le principe de cette poste et la fin tragique de cette invention.

Un matin, madame la directrice des "Eaux Claires" (1) demanda à être reçue par le Colonel. Elle déposa un petit colis sur son bureau, enveloppé de papier journal. 

"Regardez, monsieur, ce que nous recevons dans la cour du lycée."

Intrigué, le Colonel déplia le papier.

"Mais madame, ce sont des pommes de terre crues ... !"

"Oui monsieur, mais regardez les bien. Ne voyez vous pas un trou dans chacune, de la grosseur d'un crayon ?"

"Mais si ! c'est exact !"

"Et ! Un morceau de papier roulé serré et qui dépasse à peine ....Voila le moyen de communication express mis au point par vos élèves pour correspondre avec les miennes ... ainsi lestés, les messages, mutés en projectiles survolent la rue d'un établissement à l'autre ...Je tenais à vous en avertir car ce jeu s'opère, à l'évidence aux dépens de vos cuisines. Toutefois, suite à mon enquête, je suis à même de vous préciser que ce courrier clandestin n'est pas à sens unique car je sais que les réponses de mes demoiselles repartent chez vous par la même voie ...aérienne  !"
 

Anecdote extraite des documents remis au Musée par Monsieur le Colonel DUPUY ,
ancien commandant en second de l’EPA (1965-1967)

 (1) Lycée et pensionnat de jeunes filles sis de l’autre côté  d’une des  rues jouxtant l’EPA.